Des chercheurs britanniques ont démontré dans une étude publiée le 14 septembre dans la revue de l'académie des sciences britanniques, Proceedings of The Royal Society, que le rire pouvait agir comme un antalgique naturel.
Le rire aurait-il des actions bénéfiques sur le moral et la santé des patients ? Pour les chercheurs suisses, la réponse serait positive. Pour arriver à ces conclusions, les intéressés ont observé deux groupes 15 personnes. Le premier a été amené à assister à un spectacle humoristique, l’autre à une pièce dramatique. Les deux groupes ont ensuite été soumis à une tâche pénible (simuler la position assise le dos à un mur comme s'il y avait une chaise). Résultat : ceux qui avaient ri se sont avérés plus « résistants » que les autres. L’explication : «Des périodes régulières de rire détournent l'attention de la douleur, améliorent la souplesse musculaire et abaissent la pression artérielle, » soulignent les praticiens hospitaliers dans les pages du Figaro.
Autre découverte : Les chercheurs ont fait le lien entre le niveau d'endorphines dans le cerveau, surtout de bêta-endorphines (un antalgique naturel), la fréquence du rire et le niveau de sensation de la douleur. Leur conclusion : un quart d'heure de «vrai» rire augmente notre seuil de tolérance à la douleur de 10 %. Les médecins au nez-rouge et en blouse blanche qui œuvrent pour la distraction des enfants malades n’ont pas fini de faire du bien aux petits patients.
Autre découverte : Les chercheurs ont fait le lien entre le niveau d'endorphines dans le cerveau, surtout de bêta-endorphines (un antalgique naturel), la fréquence du rire et le niveau de sensation de la douleur. Leur conclusion : un quart d'heure de «vrai» rire augmente notre seuil de tolérance à la douleur de 10 %. Les médecins au nez-rouge et en blouse blanche qui œuvrent pour la distraction des enfants malades n’ont pas fini de faire du bien aux petits patients.
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