C’est un Gad El Maleh très décontracté, taquin, souriant et à l’aise dans ses propos qui s’est présenté ce mardi face à la presse nationale. Un Gad humble et très heureux de retrouver sa ville, celle qu’il n’a jamais oubliée et dont il garde de grands souvenirs : Casablanca.
A la joie des amateurs du rire et de l’humour, le Bidaoui retrouve ses nombreux fans pour trois jours de spectacle exceptionnel à Casablanca au Complexe Al Amal (21h) : hier, ce soir et demain. Dans une version très spéciale de sa pièce « Papa est en haut » et intitulée « Bidaoui ».
En intitulant ce spectacle ainsi, le comique a voulu « revendiquer ce que je suis. Beaucoup m’ont demandé pourquoi Bidaoui et non une autre ville: c’est parce que je suis Bidaoui ». C’est juste un clin d’œil, a-t-il expliqué, précisant que dans le fond, la pièce garde la même ossature. S’agissant du public, il a confié avoir toujours le tract plus qu’ailleurs quand il joue au Maroc. Et pour cause : « Il y a beaucoup d’amour mais aussi de crainte. On me dit souvent que je joue au Maroc, donc c’est la famille. Mais c’est justement là le problème », reconnaît-il avant de se lancer sur divers sujets en rapport avec sa carrière et Casablanca.
La piraterie est un mal pour un bien pour l’humoriste qui reconnaît avoir reçu de Derb Ghallef un soutien précieux dans ce sens que ce haut lieu de la « piraterie » lui aurait ouvert les portes et le cœur de bien de Marocains. N’en déplaise à ses camarades artistes, il a confié que « si Derb Ghallef n’existait pas, beaucoup de gens au Maroc ne me connaîtrait pas. Je suis (de ce point de vue) fier d’être piraté ».
Evoquant son expérience dans le cinéma aux côtés de grosses pointures comme Al Patino, Woody Allen et bien d’autres, Gad s’est montré plutôt modeste.
Comme tout bon Casablancais, Gad El Maleh s’est aussi prononcé sur le sport préféré des Bidaouis et l’équipe qu’il affectionne. Avec toutefois quelques critiques gentilles à la clef: « Je ne suis pas trop foot, mais par mes racines, je suis WAC. Sauf que je trouve que ce club n’a pas un slogan attrayant alors que Dima Dima Raja ça rime vraiment ».
Qu’est-ce que Gad El Maleh peut-il aimé faire quand il est à Casablanca ? A cette question, l’humoriste répond : «Je fais tout ce qu’il y a de normal : je vais voir ma grand-mère, je repasse du côté des écoles qui m’ont autrefois renvoyé» avant de préciser qu’il n’a pas de « nostalgie par rapport au Maroc puisque je garde des contacts ».
A la joie des amateurs du rire et de l’humour, le Bidaoui retrouve ses nombreux fans pour trois jours de spectacle exceptionnel à Casablanca au Complexe Al Amal (21h) : hier, ce soir et demain. Dans une version très spéciale de sa pièce « Papa est en haut » et intitulée « Bidaoui ».
En intitulant ce spectacle ainsi, le comique a voulu « revendiquer ce que je suis. Beaucoup m’ont demandé pourquoi Bidaoui et non une autre ville: c’est parce que je suis Bidaoui ». C’est juste un clin d’œil, a-t-il expliqué, précisant que dans le fond, la pièce garde la même ossature. S’agissant du public, il a confié avoir toujours le tract plus qu’ailleurs quand il joue au Maroc. Et pour cause : « Il y a beaucoup d’amour mais aussi de crainte. On me dit souvent que je joue au Maroc, donc c’est la famille. Mais c’est justement là le problème », reconnaît-il avant de se lancer sur divers sujets en rapport avec sa carrière et Casablanca.
La piraterie est un mal pour un bien pour l’humoriste qui reconnaît avoir reçu de Derb Ghallef un soutien précieux dans ce sens que ce haut lieu de la « piraterie » lui aurait ouvert les portes et le cœur de bien de Marocains. N’en déplaise à ses camarades artistes, il a confié que « si Derb Ghallef n’existait pas, beaucoup de gens au Maroc ne me connaîtrait pas. Je suis (de ce point de vue) fier d’être piraté ».
Evoquant son expérience dans le cinéma aux côtés de grosses pointures comme Al Patino, Woody Allen et bien d’autres, Gad s’est montré plutôt modeste.
Comme tout bon Casablancais, Gad El Maleh s’est aussi prononcé sur le sport préféré des Bidaouis et l’équipe qu’il affectionne. Avec toutefois quelques critiques gentilles à la clef: « Je ne suis pas trop foot, mais par mes racines, je suis WAC. Sauf que je trouve que ce club n’a pas un slogan attrayant alors que Dima Dima Raja ça rime vraiment ».
Qu’est-ce que Gad El Maleh peut-il aimé faire quand il est à Casablanca ? A cette question, l’humoriste répond : «Je fais tout ce qu’il y a de normal : je vais voir ma grand-mère, je repasse du côté des écoles qui m’ont autrefois renvoyé» avant de préciser qu’il n’a pas de « nostalgie par rapport au Maroc puisque je garde des contacts ».
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