C’est devant une salle pratiquement pleine que s’est amorcée la deuxième année d’opération du Théâtre Meglab de Malartic, le 24 septembre, avec la présentation d’une soirée d’humour mettant en vedette Julien Tremblay et Mathieu Gratton.
L’ambiance est toujours chaleureuse à l’arrivée au Théâtre Meglab. Les gens ont développé l’habitude d’arriver plus tôt, de jaser dans le lobby tout en prenant un verre, ce qui créer une atmosphère relaxe, décontractée et fort sympathique. La soirée de samedi dernier n’a pas fait exception.
L’honneur de casser la glace de cette deuxième année du Théâtre Meglab revenait à l’humoriste et animateur Julien Tremblay. Certains se souviendront de lui alors qu’il était aux commandes de «Julien le matin», à Musimax il y a quelques années ou pour la sitcom «Camping Ste-Madeleine», diffusé à TQS avant que ça ne change de nom pour devenir «V».
Tremblay a offert une prestation dynamique qui a su rallier rapidement le public à sa cause. Son spectacle a habilement évolué du stand up comic à la chanson, ce qui a bien servi son style d’humour, basé en majeure partie sur l’observation de situations du quotidien ou de l’actualité en général.
Mathieu Gratton
Depuis la fin du duo Crampe en masse, Mathieu Gratton a continué à faire des spectacles, dont un avec son ex, Patricia Paquin. Il anime aussi «Le banc d’essai du peuple», à l’antenne de Canal Z. Le spectacle solo n’est visiblement pas encore un mode d’expression dans lequel Mathieu Gratton excelle. Le niveau d’humour est inconstant, avec une tendance marquée vers la scatologie et les gags où la sexualité se taille une place prépondérante. La foule a tout de même connu un certain nombre d’éclats de rire très francs, à de plus rares reprises que lors de la première partie cependant.
L’humour absurde et osé demeure tout de même de l’humour et il y a des adeptes et des amateurs de ce style d’humour. Je ne suis pas du nombre, mais mon appréciation de tout ça est bien personnelle. Les lignes que vous lisez actuellement sont loin de mériter d’être considérées comme paroles d’Évangile, puisque chacune des personnes présentes dans le public samedi a droit à son appréciation personnelle du spectacle qu’on nous a proposé.
Il faut tout de même reconnaître l’audace qui marque depuis ses débuts la programmation du Théâtre Meglab. L’offre de spectacles est vraiment différente en comparaison avec ce qui se fait ailleurs et c’est justement ce qui en fait le charme. À ce niveau, bravo, puisqu’encore une fois, nous avons eu droit à de belles surprises. Par ailleurs, si je me fie aux échos qui circulaient avant le début du spectacle, faites vite pour vous procurer des billets pour les autres spectacles de la saison. Il n’en resterait pas beaucoup…
L’ambiance est toujours chaleureuse à l’arrivée au Théâtre Meglab. Les gens ont développé l’habitude d’arriver plus tôt, de jaser dans le lobby tout en prenant un verre, ce qui créer une atmosphère relaxe, décontractée et fort sympathique. La soirée de samedi dernier n’a pas fait exception.
L’honneur de casser la glace de cette deuxième année du Théâtre Meglab revenait à l’humoriste et animateur Julien Tremblay. Certains se souviendront de lui alors qu’il était aux commandes de «Julien le matin», à Musimax il y a quelques années ou pour la sitcom «Camping Ste-Madeleine», diffusé à TQS avant que ça ne change de nom pour devenir «V».
Tremblay a offert une prestation dynamique qui a su rallier rapidement le public à sa cause. Son spectacle a habilement évolué du stand up comic à la chanson, ce qui a bien servi son style d’humour, basé en majeure partie sur l’observation de situations du quotidien ou de l’actualité en général.
Mathieu Gratton
Depuis la fin du duo Crampe en masse, Mathieu Gratton a continué à faire des spectacles, dont un avec son ex, Patricia Paquin. Il anime aussi «Le banc d’essai du peuple», à l’antenne de Canal Z. Le spectacle solo n’est visiblement pas encore un mode d’expression dans lequel Mathieu Gratton excelle. Le niveau d’humour est inconstant, avec une tendance marquée vers la scatologie et les gags où la sexualité se taille une place prépondérante. La foule a tout de même connu un certain nombre d’éclats de rire très francs, à de plus rares reprises que lors de la première partie cependant.
L’humour absurde et osé demeure tout de même de l’humour et il y a des adeptes et des amateurs de ce style d’humour. Je ne suis pas du nombre, mais mon appréciation de tout ça est bien personnelle. Les lignes que vous lisez actuellement sont loin de mériter d’être considérées comme paroles d’Évangile, puisque chacune des personnes présentes dans le public samedi a droit à son appréciation personnelle du spectacle qu’on nous a proposé.
Il faut tout de même reconnaître l’audace qui marque depuis ses débuts la programmation du Théâtre Meglab. L’offre de spectacles est vraiment différente en comparaison avec ce qui se fait ailleurs et c’est justement ce qui en fait le charme. À ce niveau, bravo, puisqu’encore une fois, nous avons eu droit à de belles surprises. Par ailleurs, si je me fie aux échos qui circulaient avant le début du spectacle, faites vite pour vous procurer des billets pour les autres spectacles de la saison. Il n’en resterait pas beaucoup…
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