Une humoriste et une juriste, associées au nom de la citoyenneté
Aix-en-Othe- Ce n'était pas pour prolonger les vacances, mais bel et bien dans un but pédagogique que jeudi dernier, les élèves de 4e et 3e du collège Othe et Vanne ont assisté à un spectacle comique à la salle polyvalente d'Aix-en-Othe. Utiliser le rire pour faire passer des messages sur des sujets graves peut paraître paradoxal, mais pourtant l'objectif a bien été atteint.
Pendant plus d'une heure, l'humoriste, Esta Webster, a interprété des personnages mettant en scène des situations de tous les jours. Ses textes, drôles et crédibles, sans être surjoués ont marié humour et communication autour de thèmes comme la citoyenneté, les discriminations, la drogue, le sexe, internet, la violence, la parité. Autant de sujets qui, au moment où se construisent les identités et la projection de soi dans l'avenir, ne peuvent faire place aux idées préconçues. Si le choix de les traiter par l'humour a été fait, c'est que comme l'a précisé Esta Webster : « On retient mieux ce dont on a ri. »
Après le spectacle, les sketchs ont été repris par Marie Heckmann, juriste du CIDFF Aube (Centre d'information sur les droits des femmes et des familles), qui a décortiqué les textes pour en faire ressortir les messages.
Le jeu des questions réponses a permis d'approfondir les sujets qui, à en croire la participation de la salle, n'ont pas laissé les adolescents indifférents.
Marie Heckmann devait conclure le débat en invitant les collégiens a ne pas se laisser prendre au piège de l'archaïsme social, du sexisme ou de la discrimination qui par des préjugés, entravent la liberté et l'intégrité.
Pendant plus d'une heure, l'humoriste, Esta Webster, a interprété des personnages mettant en scène des situations de tous les jours. Ses textes, drôles et crédibles, sans être surjoués ont marié humour et communication autour de thèmes comme la citoyenneté, les discriminations, la drogue, le sexe, internet, la violence, la parité. Autant de sujets qui, au moment où se construisent les identités et la projection de soi dans l'avenir, ne peuvent faire place aux idées préconçues. Si le choix de les traiter par l'humour a été fait, c'est que comme l'a précisé Esta Webster : « On retient mieux ce dont on a ri. »
Après le spectacle, les sketchs ont été repris par Marie Heckmann, juriste du CIDFF Aube (Centre d'information sur les droits des femmes et des familles), qui a décortiqué les textes pour en faire ressortir les messages.
Le jeu des questions réponses a permis d'approfondir les sujets qui, à en croire la participation de la salle, n'ont pas laissé les adolescents indifférents.
Marie Heckmann devait conclure le débat en invitant les collégiens a ne pas se laisser prendre au piège de l'archaïsme social, du sexisme ou de la discrimination qui par des préjugés, entravent la liberté et l'intégrité.
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